24 heures: Les autorités doivent protéger les malades, pas les brevets

Le coût d’une thérapie ne frappe plus seulement les pays pauvres. L’ONG Public Eye lance une campagne d'alerte.

Ruth Dreifuss, ancienne Conseillère fédérale:

«Lorsque j’étais en charge de la Santé publique en Suisse, je n’avais accès à aucune donnée précise, expliquant pourquoi tel ou tel nouveau traitement allait coûter des dizaines, voire des centaines de milliers de francs par année. Je devais signer d’une main, tandis que l’autre était attachée dans mon dos.»

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>> Vers l'édito d'Elisabeth Eckert

Se soigner ne dois pas être une question d'argent. Ni en Suisse, ni nulle part ailleurs !

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