Anciennes enquêtes
Depuis la publication en 2011 de son ouvrage de référence sur le secteur des matières premières («Swiss Trading SA»), Public Eye mène un travail d’enquête rigoureux pour mettre en lumière les pratiques controversées des sociétés de négoce et la nécessité de réguler ce secteur à haut risque.
- 2012: Swiss Trading SA: la Suisse, le négoce et la malédiction des matières premières
- 2013: Le Beny Steinmetz Group: soupçons de corruption en Guinée, opacité à Genève
- 2013: Les pratiques fiscales de Vale
- 2013: Les affaires angolaises de Trafigura
- 2013: Les affaires obscures des négociants suisses au Nigeria: Trafigura, Vitol et cie au pays de l’or noir
- 2014: Les arrangements douteux de Philia au Congo
- 2015: Un filon en or
- 2016: Dirty Diesel: les négociants suisses inondent l'Afrique de carburants toxiques
- 2017: Gunvor au Congo - les aventures d’un négociant suisse à Brazzaville: Recherche et rapport.
- 2018: Les méthodes douteuses des négociants suisses au Brésil
- 2018: Les affaires troubles de Glencore en RDC
- 2020: «House of Cars» chez les Obiang
- 2020: Quand Gunvor et Vitol fraient avec le même homme de paille
- 2020: Norilsk Nickel: le serial pollueur russe vend ses métaux depuis Zoug
- 2021: C’est l’histoire de toute la corruption en Guinée
- 2022: Les territoires suisses d’outre-mer
Les cas que nous révélons illustrent les risques élevés de corruption et de violations des droits humains qui caractérisent les activités de négoce. Les autorités helvétiques continuent pourtant de miser uniquement sur la bonne volonté des négociants pour lutter contre la «malédiction des ressources» et refusent de réguler ce secteur opaque. Nos enquêtes montrent que cette position est intenable, au vu des modèles d’affaires de ces sociétés et des enjeux pour les populations des pays producteurs, qui en subissent de plein fouet les préjudices.